29 avril 2008
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SOUS TITRE : ESPERANCE
Aujourd'hui, j'ai déjeuné avec l'ami que nous pensions perdu. Je sais que pour toi c'était une histoire passée, tu avais pardonné. C'est vrai, c'est un évènement qu'il est préferable d'oublier. Cependant, il a gaché quelques unes de nos dernières années et vous a amené l'un comme l'autre à des extrémités plutôt dangereuses. Tu as eu tout compte fait beaucoup plus de chance que lui. Cette chanson de Yannick Noah que je souhaitais t'offrir dans mon bouquet, si tu veux bien la partager avec lui celà me ferait plaisir.
Toi, je sais que tu sais "oser" et maintenant, nous connaissons la vrai valeur de ta vie :
"un type formidable, qui n'a pas d'ennemi, et dont la chaleur de ses bras ...."
Maintenant, à lui "d'oser" pour le respect de ta mémoire et pour redonner au monde toutes ses couleurs.
Presque rien, juste à part
Et venir plus près
D'autres liens d'autres voix
Au moins essayer
L'étincelle qu'on reçoit
Au premier regard
L'étincelle vient de toi
S'envole au hasard
Et peut tout changer
Alors... Ose, (ose) ose (Oooose)
Redonne à ta vie
Sa vraie valeur
Ose, ose
Redonne à ce monde
Toutes ses couleurs.
Presque rien, un silence
Qu'il faut écouter
Un chemin, une chance
Qu'on peut partager
Pas de doute, pas de peur
Tu peux avancer
Fais ta route
Il est l'heure
Tu dois essayer
Tu dois tout changer
Ose, (okisé séki now, now, now, now....)
Ose (okisé séki now, now, now, now....)
Redonne à ta vie
Sa vraie valeur
Ose, (okisé séki now, now, now, now....)
Ose (okisé séki now, now, now, now....)
Redonne à ce monde
Toutes ses couleurs.
(okisé séki now, now, now, now....) x2
Presque rien, une route, tu peux avancer
(okisé séki now, now, now, n ow....) x2
Presque rien, un regard, tu peux essayer
Tu peux tout changer
Alors...
Ose, (okisé séki now, now, now, now....)
Ose (okisé séki now, now, now, now....)
Redonne à ta vie
Sa vraie valeur
Ose, (okisé séki now, now, now, now....)
Ose (okisé séki now, now, now, now....)
Redonne à ce monde
Toutes ses couleurs.
Ose, (okisé séki now, now, now, now....)
Ose (okisé séki now, now, now, now....)
Redonne à ce monde
Toutes ses couleurs
24 avril 2008
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L’ABSENCE
A Michèle, pour Paul.
Je goûte ma folie de te parler sans cesse
Car tu es dans mon cœur, tu ne l’as pas quitté.
Aux autres le chagrin mais à moi la caresse
De ta voix qui murmure à mon âme agitée.
Car je boirai la lie jusqu’au fond de l’ivresse,
Des sorciers je croirai les imbécillités,
Pourvu que ton regard, au tourment qui me blesse
Apporte apaisement jusqu’à l’éternité.
Peu me font les pitiés et les vœux qu’on m’adresse,
Que je pleure ou je rie, jamais nulle vieillesse
De t’aimer pour toujours ne me fait hésiter.
J’ai asséché mes pleurs et noyé ma tristesse
Car ta main dans ma main dirige ma faiblesse
Vers l’horizon d’amour que je ne peux citer.
19 mars 2008
Christian BERTIN
15 avril 2008
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sous titre : AMOUR
L'amitié, forte et véritable c'est comme un amour, la séparation est insuportable, incompréhensible et parfois entraine vers des chemins dangereux. Voici le texte que j'ai trouvé pour aidé ton ami.... Depuis, il a trouvé du travail, je le retrouve avec le sourire. Tu as toujours veillé sur lui, beaucoup de personnes pensent que tu peux le faire encore, d'autres se refusent de le croire. De toute façon, peu importe nos croyances si elle nous permettent de retrouver la joie, la confiance, l'esperance et l'amour...
Pleure pas, crie pas
N'oublie pas que tu as vingt ans
Ne te laisse pas vieillir
Ou tu vas mourir
Notre vie n'est pas foutue
Faut pas qu'on s'habitue
Réveille-toi
Debout ; Tiens-toi droit !
On va leur montrer
Qu'on peut tout changer
Je sais bien que les oiseaux perdus
Ne reviendront jamais
Mais arrête de dire dans ton lit
Que tu vas faire tout sauter
Tout sauter
Allons viens et calme-toi
Parle-nous, ouvre-toi
Réveille-toi !
Debout !
Tiens-toi droit !
On va leur montrer
Qu'on peut tout changer
Il faudrait retrouver
Les oiseaux blessés
Ils sont bien quelque part
On peut les sauver
Vaut mieux tout recommencer
On peut pas se suicider
Réveille-toi
Debout ! Tiens-toi droit !
On va leur montrer
Qu'on peut tout changer
Je sais bien que les oiseaux perdus
Ne reviendront jamais
Mais arrête de dire dans ton lit
Que tu vas faire tout sauter
Tout sauter
Alors viens et calme-toi
Parle-nous, ouvre-toi
Réveille-toi
Debout !
Tiens-toi droit
On va leur montrer
Qu'on peut tout changer
Respire ! On va leur montrer
Respire ! Qu'on peut tout changer
Respire debout souffle
Réveille-toi
14 avril 2008
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sous titre : AMOUR
(Le canal du Rove, construit de 1911 à 1927, inauguré le 7 mai 1916 puis de nouveau le 24 avril 1927 et enfin l'effondrement le 16 juin 1963)
Pour toi, c'est au bord du canal du Rove que l'amitié s'est développée.... Les mots ont une importance , les dates (les chiffres) également. Ta courte vie entre XXe siècle et XXIème siècle est étonnamment semblable à la construction de ce canal et j'ai la certitude à la vue des dates qu'elle est dans la suite logique de la vie de tes ancêtres
Le matin aux saisons nouvelles
Je vais au bord de la Moselle
Regarder les oiseaux
Ils viennent quand je les appelle
Caresser l'eau du bout des ailes
Et suivent les bateaux
Fatigués, abandonnent
Et s'enfoncent dans le ciel
Haut pour aller chercher de l'air plus haut
Haut plus haut que Dieu décida de faire mourir le vent
Plus haut que nous ne pourrons aller avant longtemps
C'est si loin...
Loin de moi que mes yeux déçus
Aveuglés aux voûtes d'azur
Ne les voient plus
Ce matin assis sous le ciel
Je pleure au bord de la Moselle
Et j'attends les oiseaux
On dit que partout c'est pareil
Qu'ils sont morts pendant leur sommeil
D'avoir volé trop haut
Ceux qui s'étaient perdus
Ont dû s'en aller si haut
Haut qu'ils se sont brûlés sur le soleil
Haut plus haut que Dieu décida de faire mourir le vent
Plus haut que nous ne pourrons aller avant longtemps
C'est si loin
Loin de moi que mes yeux déçus
Aveuglés aux voûtes d'azur
N'y croient plus
14 avril 2008
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sous titre : ESPERANCE
En septembre 2006, tu as décidé de partir vive en Bretagne, je te remercie d'avoir eu ce courage, de nous avoir préparé, sans le vouloir, à cette séparation. Je t'avais adréssé alors par email cette chanson qui nous ressemblait. Elle nous ressemble encore plus aujourd'hui et j'attends le plaisir de te revoir...
Ma fille, mon enfant
Je vois venir le temps
Où tu vas me quitter
Pour changer de saison
Pour changer de maison
Pour changer d'habitudes
J'y pense chaque soir
En guettant du regard
Ton enfance qui joue
A rompre les amarres
Et me laisse le goût
D'un accord de guitare
Tu as tant voyagé
Et moi de mon côté
J'étais souvent parti
Des Indes à l'Angleterre
On a couru la Terre
Et pas toujours ensemble
Mais à chaque retour
Nos mains se rejoignaient
Sur le dos de velours
D'un chien qui nous aimait
C'était notre façon
D'être bons compagnons
Mon enfant, mon petit
Bonne route... Bonne route
Tu prends le train pour la vie
Et ton cœur va changer de pays
Ma fille, tu as vingt ans
Et j'attends le moment
Du premier rendez-vous
Que tu me donneras
Chez toi ou bien chez moi
Ou sur une terrasse
Où nous évoquerons
Un rire au coin des yeux
Le chat ou le poisson
Qui partageaient nos jeux
Où nous épellerons
Les années de ton nom
A vivre sous mon toit
Il me semble parfois
Que je t'avais perdue
Je vais te retrouver
Je vais me retrouver
Dans chacun de tes gestes
On s'est quittés parents
On se retrouve amis
Ce sera mieux qu'avant
Je n'aurai pas vieilli
Je viendrai simplement
Partager tes vingt ans
Mon enfant, mon petit
Bonne route... Bonne route
Sur le chemin de la vie
Nos deux cœurs vont changer de pays
7 avril 2008
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sous titre : ESPERANCE Ce matin, cette chanson est venue à mon esprit en pensant à ton père ... J'aime lorsque tu me fais cette tête ! mais tant pis je vais continuer a relier les mots des chansons aux personnage de notre vie, à nos histoires....
Je t'embrasse, à bientôt.
La mer est en bleu entre deux rochers bruns.
Je l'aurais aimée en orange
Ou même en arc-en-ciel comme les embruns
Etrange
{Refrain:}
Je voudrais changer les couleurs du temps
Changer les couleurs du monde
Le soleil levant la rose des vents
Le sens où tournera ma ronde
Et l'eau d'une larme et tout l'océan
Qui gronde
J'ai brossé les rues et les bancs
Paré les villes de rubans
Peint la Tour Eiffel rose chair
Marié le métro à la mer
Le ciel est de fer entre deux cheminées
Je l'aurais aimé violine
Ou même en arc-en-ciel comme les fumées
De Chine
{au Refrain}
Je suis de toutes les couleurs
Et surtout de celles qui pleurent
La couleur que je porte c'est
Surtout celle qu'on veut effacer
Et tes cheveux noirs étouffés par la nuit
Je les voudrais multicolores
Comme un arc-en-ciel qui enflamme la pluie
D'aurore
Je voudrais changer les couleurs du temps,
Changer les couleurs du monde
Les mots que j'entends seront éclatants
Et nous danserons une ronde
Une ronde brune, rouge et safran
Et blonde
5 avril 2008
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Aujourd'hui, ton père a 50 ans. Il y a un an tu me téléphonais au moment ou je lui offrais son cadeau. J'ai maugréé à cause du dérangement ! Cette année, une belle ballade mais pas de cadeau, pas d'appel ....
Nous t'aimons, nous nous disons c'est comme si il était parti loin ! il voulait partir en Inde, nous ne savons pas si il est arrivé et ce qu'il fait ... Que d'invention de l'esprit pour se rassurer et pour ne pas le perdre !
(l'esprit bien sur )
Voici,cette chanson d'Angelo Branduardi. Elle est venue, ce soir,
dans mes pensées pour toi :
Dans le sous-bois qui s'éveille,
S'étirent les herbes folles,
Sans vêtements et sans pagnes,
Elles montrent leurs corolles...
Et les nymphes et les ménades
Attendent les petits hommes,
Pour les prendre dans les rêves
De l'amour qui dort encore...
Ni fatigue ni douleur
Dans les pleurs du sang des hommes
Ni beauté ni sous-bois
A l'abri de leurs malheurs
Pas de Dieu qui nous punisse
Pas de Dieu qui nous trahisse...
Pas de piège dans le mystère
D'un Amour qui s'est fait chair.
Chair promise chair soumise,
Chair glacée ou chair brûlante,
De la jungle à la banquise,
La même flèche nous tourmente...
Le temps qui détruit les choses
Les passions comme les roses
Est moins violent que la grâce
De l'éternité des femmes...
Vive la vie des tarentules
Vive la vie des petits hommes...
Vive la vie des minuscules,
Des souffrants et des lucioles...
Ni fatigue ni douleur
Dans les pleurs du sang des hommes...
Aux rubans et aux splendeurs
On se blesse et on se cogne...
Pas de Dieu qui nous punisse
Pas de Dieu qui nous trahisse...
Pas de piège pas de mystère
D'un Amour qui s'est fait chair.
Chair promise chair soumise,
Chair glacée ou chair brûlante,
De la jungle à la banquise,
La même flèche nous tourmente...
Et dans la douceur violente,
De la nature impatiente,
Les Dieux deviennent des hommes
Et les femmes des espérances.
24 mars 2008
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SOUS TITRE : CONFIANCE
Certains d'entre nous sont trés fort pour nous faire culpabiliser, mais le plus souvent c'est pour cacher le manque de confiance qui les habite. Cependant, que de tristesse celà engendre, nous avons connu des situations semblables et vous ?
J'aime bien cette perruque, elle permet de dédramatiser ....
Et les jours se fanent
Comme les années
Le programme ne changera plus jamais
Et tes joues se fardent
Pour mieux étouffer
Le sillon des larmes que j'avais laissées
Je le sais je m'y prends bien
Pour gâcher ces petits riens
Qui font la vie
Qui font la vie
J'voulais pas v'nir
C'est pas malin
J'voulais pas v'nir
J'me sens pas bien
J'veux sortir
Pour vomir tout mon chagrin
J'peux pas partir
J'peux pas changer mon destin
J'ai trop peur de mourir avant la fin
Et puis l'amertume
M'a tendu la main
J'ai pris l'habitude
De marcher pour rien
Et quand mon vertige
S'équilibre enfin
Le vide se fige mais il me retient.
J'ai pas choisi le début
Je choisirai pas la fin
De ma vie
De ma vie
J'voulais pas v'nir
C'est pas malin
J'voulais pas v'nir
J'me sens pas bien
J'veux sortir pour vomir tout mon chagrin
J'peux pas partir
J'peux pas changer mon destin
J'ai trop peur de mourir avant la fin
J'voulais pas v'nir
J'peux pas partir
J'voulais pas v'nir...
23 mars 2008
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sous titre : confiance
Y a comme un goût amer en nous
Comme un goût de poussière dans tout
Et la colère qui nous suit partout
Y a des silences qui disent beaucoup
Plus que tous les mots qu'on avoue
Et toutes ces questions qui ne tiennent pas debout
Evidemment
Evidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu'on aimait tant
Evidemment
Evidemment
On rit encore
Pour les bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Et ces batailles dont on se fout
C'est comme une fatigue, un dégoût
A quoi ça sert de courir partout
On garde cette blessure en nous
Comme une éclaboussure de boue
Qui n'change rien, qui change tout
Evidemment
Evidemment
On rit encore
Pour les bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Pas comme avant
Il y a 9 mois, tu nous quittais, l'accident que nous ne comprenons pas. Pourquoi toi ? Ce n'est pas possible!
Tes amis, Antony, Christophe, Ludovic, Arnaud et Benjamin, sont toujours présents à la maison, bien sur certains ne viennent plus car c'est trop difficile.
Nous avons baptisé le 2 septembre 2007, le bateau sur lequel tu as été champion avec ton coequipier Arnaud.... Tu as marqué, toutes les personnes du club d'aviron. Nous avons reçu des témoignages d'amitié du plus jeune au plus agé du club... Nous t'aimons
23 mars 2008
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SOUS TITRE : ESPERANCE
Antony, Christophe, Paul et Ludovic, ce texte est-il pour vous ? Les parents, les profs, les entraineurs, vous en demandent beaucoup, nous avons tous l'espoir d'avoir des enfants intelligents, beaux, forts, en bonne santé et plus tard "un beau parti" c'est à dire une (ou un) fiancée (é) belle riche, aimante et aimée etc. Une situation de cadre supérieur, ingénieur et je ne sais qu'imaginer encore! Depuis que tu es parti, je n'ai qu'un seul regret. Celui de t'avoir mis la pression pour avoir un job régulier, d'avoir douté sur l'avenir. Je sais maintenant que l'on doit se réjouir même si l'on a qu'une seule de ces grâces.
(bisous particulièrement à Ludo)
Elle m'a brossé
Briqué poncé lustré
Et dit en me regardant
Je sais que tu seras grand
Et fort et adoré
Elle répète ça sans arrêt
Prends les devants
Te laisse pas déborder
Frappe au milieu des géants
Inscris ton nom sur le monde
Et marche le premier,
Elle répète ça sans arrêt
Montre-leur que t'en as
Un cœur gros comme ça
Tiens-toi droit
Reste froid
Elle me fatigue y a des fois
Montre-leur que t'es mec
Super athlète
L'intellec
Super sex
Charge
Allez hop!
Soldat de plomb
Si un jour tu saignais
N'oublie jamais la leçon
Le sang que perdent les hommes
Est toujours du sang de héros
Elle me fatigue ça fait trop
Sois le plus beau
Que les femmes de toi
Languissent et rêvent longtemps
Mais avant de les séduire
Retire ton chapeau
Elle me fatigue ça fait trop
Montre-leur ...
Elle me font mal à la tête
La raison du plus fort
Haut les cœurs
En avant
Charge
Allez hop!